Je ne sais par où commencer,
Dois-je vivre la lune ou ma bonne étoile
A tant que la vie finisse par passer,
Ou provoquer le destin fatal
Paris dévoile mon amour,
Perdue parmi tous ces gens
Paris delivre mon amour,
Je serai sur le pont des amants
Tellement de gens et si peu de regards,
Tellement de gens et si peu de sourires
Jamais le temps de s’offrir au hasard,
Si peu de temps qu’on aimerait en finir
Paris dévoile mon amour,
Perdue parmi tous ces gens
Paris delivre mon amour,
Je serai sur le pont des amants
{Voix off:}
L’attitude un peu lasse,
Elle avance dans la foule,
Sans contraire de la marche
Un bateau ivre sur la houle
Belle Paris fais-toi géréreuse
Avec ma pauvre âme en peine
Je dirai partout que tu es merveilleuse,
Si tu me trouves un seul je t’aime
Paris dévoile mon amour,
Perdue parmi tous ces gens
Paris delivre mon amour,
Je serai sur le pont des amants.
(OLIVIA RUIZ)
Puede que un día veas tus dolores andar
por el filo que es vida de un cuchillo.
Y puede que hasta puedas explicarlo
con gritos, furia, rabia, ceños, manos,
con llanto, lágrimas, sollozos, ojos,
con frases, sílabas, canciones, boca,
con silencios, suspiros, besos, alma.
Pero, ay de ti, si amas el filo hasta la muerte
y ni él siquiera sabe que te hiere,
si en preciso equilibrio entre el amor y el dolor
te marca el filo un ritmo en desafuero,
¿qué dolor dará pie para explicar
ese funambulismo tan perfecto
que sólo pisa donde duele y ama?
¿Será el dolor un largo filo que no acaba?,
¿un filo que es el único sufijo
que puedes añadir al filo que amas?,
¿un doble filo que soporta al alma
abriéndole un abismo insoportable?